Alain Barrière. Olympia. Et Si C'était L'amour. Zeneszám
Pourquoi soudain ce grand silence
Pour un visage une presence
Et ces yeux au fond de mes yeux
Ce cri etouffe sur mes levres
Comme la tempete, la fievre
La certitude d'etre deux
Doucement je quitte la terre
Enfant prodige des mysteres
Je vertige dans ses yeux
Mais que m'est douce la tourmente
Voici que je reinvente
L'amour au fond de ses yeux
Mon coeur, tais-toi, faut etre sage
Tu m'as valu tant de mirages
Et de lendemains malheureux
Mon coeur suffit de ce delire
Demain faudra-t'il en rire
Ou bien en pleurer tous les deux
Oh mon ange, mon bel ange si c'etait l'amour
Oh mon ange, mon bel ange si c'etait l'amour
Viens je t'emmene en voyage
C'est bien notre tour
L'aube leve sur la plage
C'est le premier jour
Oh mon ange, mon bel ange si c'etait l'amour
Oh mon ange, mon bel ange si c'etait l'amour
Tu es ma bouee de sauvetage
Mon abri sur le rivage
Mon port au bout de la nuit bleue
Tu es ma crainte, ma hantise
Mon soleil, ma terre promise
Tu es le froid, tu es le feu
Tu es mon sang, tu es ma lyre
Et l'univers entier chavire
Au ciel etoile de tes yeux
Mon bonheur touche a l'insolence
Le monde prend des apparences
De la beaute, du merveilleux
Faut-il lui dire que je l'aime
L'aveu frolerait le blaspheme
Il est si tot pour tous les deux
Les mots sont charges de memoire
Taisons la notre victoire
Adieu ma solitude, adieu
Oh mon ange, mon bel ange si c'etait l'amour
Oh mon ange, mon bel ange si c'etait l'amour
Viens je t'emmene en voyage
C'est bien notre tour
L'aube leve sur la plage
C'est le premier jour
Oh mon ange, mon bel ange si c'etait l'amour
Oh mon ange, mon bel ange si c'etait l'amour
Pourquoi soudain ce grand silence
Pour un visage une presence
Et ces yeux au fond de mes yeux
Ce cri etouffe sur mes levres
Comme la tempete, la fievre
La certitude d'etre deux
Olympia 1976
Kedvencek
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