Alain Bashung. Comme Un Lego. Zeneszám
C'est un grand terrain de nulle part
Avec de belles poignees d'argent
La lunette d'un microscope
Et tous ces petits etres qui courent
Car chacun vaque a son destin
Petits ou grands
Comme durant les siecles egyptiens
Peniblement...
A porter mille fois son poids sur lui
Sous la chaleur et dans le vent
Dans le soleil ou dans la nuit
Voyez-vous ces etres vivants ? (x2)
Quelqu'un a invente ce jeu
Terrible, cruel, captivant
Les maisons, les lacs, les continents
Comme un lego avec du vent...
La faiblesse des tout-puissants
Comme un lego avec du sang
La force decuplee des perdants
Comme un lego avec des dents
Comme un lego avec des mains
Comme un lego...
Voyez-vous tous ces humains
Danser ensemble a se donner la main
S'embrasser dans le noir a cheveux blonds
A ne pas voir demain comme ils seront...
Car si la Terre est ronde
Et qu'ils s'agrippent
Au-dela, c'est le vide
Assis devant le restant d'une portion de frites
Noir sideral et quelques plats d'amibes
Les capitales sont toutes les memes devenues
(x2:)
Aux facettes d'un meme miroir
Vetues d'acier, vetues de noir
Comme un lego mais sans memoire (x2)
Pourquoi ne me reponds-tu jamais ?
Sous ce manguier de plus de dix milles pages
A te balancer dans cette cage...
A voir le monde de si haut
Comme un damier, comme un lego
Comme un imputrescible radeau
Comme un insecte mais sur le dos
Comme un insecte sur le dos (x2)
C'est un grand terrain de nulle part
Avec de belles poignees d'argent
La lunette d'un microscope
On regarde, on regarde, on regarde dedans...
On voit de toutes petites choses qui luisent
Ce sont des gens dans des chemises
Comme durant ces siecles de la longue nuit
Dans le silence ou dans le bruit... (x3)
Avec de belles poignees d'argent
La lunette d'un microscope
Et tous ces petits etres qui courent
Car chacun vaque a son destin
Petits ou grands
Comme durant les siecles egyptiens
Peniblement...
A porter mille fois son poids sur lui
Sous la chaleur et dans le vent
Dans le soleil ou dans la nuit
Voyez-vous ces etres vivants ? (x2)
Quelqu'un a invente ce jeu
Terrible, cruel, captivant
Les maisons, les lacs, les continents
Comme un lego avec du vent...
La faiblesse des tout-puissants
Comme un lego avec du sang
La force decuplee des perdants
Comme un lego avec des dents
Comme un lego avec des mains
Comme un lego...
Voyez-vous tous ces humains
Danser ensemble a se donner la main
S'embrasser dans le noir a cheveux blonds
A ne pas voir demain comme ils seront...
Car si la Terre est ronde
Et qu'ils s'agrippent
Au-dela, c'est le vide
Assis devant le restant d'une portion de frites
Noir sideral et quelques plats d'amibes
Les capitales sont toutes les memes devenues
(x2:)
Aux facettes d'un meme miroir
Vetues d'acier, vetues de noir
Comme un lego mais sans memoire (x2)
Pourquoi ne me reponds-tu jamais ?
Sous ce manguier de plus de dix milles pages
A te balancer dans cette cage...
A voir le monde de si haut
Comme un damier, comme un lego
Comme un imputrescible radeau
Comme un insecte mais sur le dos
Comme un insecte sur le dos (x2)
C'est un grand terrain de nulle part
Avec de belles poignees d'argent
La lunette d'un microscope
On regarde, on regarde, on regarde dedans...
On voit de toutes petites choses qui luisent
Ce sont des gens dans des chemises
Comme durant ces siecles de la longue nuit
Dans le silence ou dans le bruit... (x3)
Alain Bashung
Kedvencek