Aldebert. La Dame Aux Camel Lights. Zeneszám
La dame aux camels lights
Jette du bout des levres des ronds
Des aureoles provisoires
Qui canonisent les garcons
On hesite a s'approcher
Allant clopin clopant
Melanger sa fumee
Le coeur tambour battant
Atteindre enfin le trone
Comme les rois de jadis
Lui faire l'aumone
De baisers factices
La dame aux camel lights
Jette du bout des levres des sons
Des paraboles passe muraille
Qui font rougir les garcons
Elle impose sur les bouches
Un rictus gene
Des lors que l'on louche
Sur son intimite
Combien de nuits encore
Restera-t-il a fumer
Pour la voir endormie
Serrree a mes cotes
Marguerite
Serre entre ses doigts
Marguerite
Un autre que moi
La dame aux Camels Light
Jette du bout des levres des sorts
Des sortileges invisibles
Qui penetrent l'ame et le corps
Unissant le caprice
A la bienfaisance
Je me hisse et me lance
A l'assaut des critiques
En tenant dans mon dos
Un bouquet de fleurs blanches
J'ai l'air un peu idiot
Des charmeurs du dimanche
Marguerite
Serre entre ses doigts
Marguerite
Un autre que moi
J'aimerais lui crier
Que je suis un tout seul
Timide et prisonnier
Que je porte le deuil
De ne pouvoir lui parler
Ne se rendant pas compte
Qu'elle nuit a ma sante
Quand elle ouvre l'ecole
Du crime passionnel
En restant comme une folle
A battre la semelle
Je la voit qui s'allume
Une autre cigarette
Et c'est moi qu'elle consume
Une de trop une de trop...
La dame aux Camels Light
Jette du bout des levres des signes
Si le coeur t'en dit
Tu peux venir toi aussi
T'asseoir ici
je regarde derriere moi
A qui parle-t-elle ?
Je me montre du doigt
M'installe a cote d'elle
En partageant son cercle
et ses ronds de fumee
dessinent en l'air des coeurs
Je m'retiens d'esperer
Marguerite
Serre entre ses doigts
Marguerite
Un bouquet de camelias
Marguerite
Me serre entre ses bras
Marguerite
Me voila laureat
(Merci a Alessandro pour cettes paroles)
Jette du bout des levres des ronds
Des aureoles provisoires
Qui canonisent les garcons
On hesite a s'approcher
Allant clopin clopant
Melanger sa fumee
Le coeur tambour battant
Atteindre enfin le trone
Comme les rois de jadis
Lui faire l'aumone
De baisers factices
La dame aux camel lights
Jette du bout des levres des sons
Des paraboles passe muraille
Qui font rougir les garcons
Elle impose sur les bouches
Un rictus gene
Des lors que l'on louche
Sur son intimite
Combien de nuits encore
Restera-t-il a fumer
Pour la voir endormie
Serrree a mes cotes
Marguerite
Serre entre ses doigts
Marguerite
Un autre que moi
La dame aux Camels Light
Jette du bout des levres des sorts
Des sortileges invisibles
Qui penetrent l'ame et le corps
Unissant le caprice
A la bienfaisance
Je me hisse et me lance
A l'assaut des critiques
En tenant dans mon dos
Un bouquet de fleurs blanches
J'ai l'air un peu idiot
Des charmeurs du dimanche
Marguerite
Serre entre ses doigts
Marguerite
Un autre que moi
J'aimerais lui crier
Que je suis un tout seul
Timide et prisonnier
Que je porte le deuil
De ne pouvoir lui parler
Ne se rendant pas compte
Qu'elle nuit a ma sante
Quand elle ouvre l'ecole
Du crime passionnel
En restant comme une folle
A battre la semelle
Je la voit qui s'allume
Une autre cigarette
Et c'est moi qu'elle consume
Une de trop une de trop...
La dame aux Camels Light
Jette du bout des levres des signes
Si le coeur t'en dit
Tu peux venir toi aussi
T'asseoir ici
je regarde derriere moi
A qui parle-t-elle ?
Je me montre du doigt
M'installe a cote d'elle
En partageant son cercle
et ses ronds de fumee
dessinent en l'air des coeurs
Je m'retiens d'esperer
Marguerite
Serre entre ses doigts
Marguerite
Un bouquet de camelias
Marguerite
Me serre entre ses bras
Marguerite
Me voila laureat
(Merci a Alessandro pour cettes paroles)
Aldebert
Kedvencek