Axel Bauer. Le Voyageur. Zeneszám
Ma main dessine un visage
Qui va me trahir
La douceur de son orgueil
Me dit qu'il est bientot l'heure de partir
Attire par ce presage
Que vais-je devenir
Ce visage la m'attache a des images
Que j'aurais voulu fuir
S'envole la miserable envie qui me tire
Pour me conduire ailleurs
Encore me suit
L'ange de ce voyageur
Emmele dans les roseaux
Je me debats
Pour lui tourner le dos
Ca le fait rire aux eclats
De me voir d'en haut
Etre si bas
donne-moi la certitude
D'etre sur le chemin
Et non dans un lointain refuge
Ou le crepuscule demeure sans fin
Donne moi la certitude
De guider mon destin
Raconte moi en murmure
Que le voyageur reconnaitra les siens
Toi seul pourra decider
D'etre au-dessus de tout
Tu comprendras que ce que tu sais
Tu le sauras toujours
Qui va me trahir
La douceur de son orgueil
Me dit qu'il est bientot l'heure de partir
Attire par ce presage
Que vais-je devenir
Ce visage la m'attache a des images
Que j'aurais voulu fuir
S'envole la miserable envie qui me tire
Pour me conduire ailleurs
Encore me suit
L'ange de ce voyageur
Emmele dans les roseaux
Je me debats
Pour lui tourner le dos
Ca le fait rire aux eclats
De me voir d'en haut
Etre si bas
donne-moi la certitude
D'etre sur le chemin
Et non dans un lointain refuge
Ou le crepuscule demeure sans fin
Donne moi la certitude
De guider mon destin
Raconte moi en murmure
Que le voyageur reconnaitra les siens
Toi seul pourra decider
D'etre au-dessus de tout
Tu comprendras que ce que tu sais
Tu le sauras toujours