Blérots de R.A.V.E.L. (Les). Le Sol. Zeneszám
J'ai la tete en carafe
Et pas les yeux d'un hibou
Alors j'allume la lumiere
Pour pouvoir marcher debout
Rapport a tous ces coins de tables
Et a leurs petits sourires sournois
A leurs croche-pieds implacables
Qui me rappellent soudain a toi
Le sol,
Que je ne touche pas si souvent
C'est pas ma faute d'avoir essaye
Mais toutes ces conventions m'emmerdent
Sois poli, essuie ton nez
Et t'es gentil, marche pas dans l'herbe
Si t'es en retard pour bosser
T'aura pas le droit a ton cafe
Y'en a plein le cul de voir s'agiter
Des carottes pour me faire avancer
Ras le bol
Je veux qu'on me laisse avancer doucement
Je partage un tres joli deux pieces
Avec des milliers de culs de bouteilles
Des cendriers qui serrent les fesses
Et qui chantent des chansons de la veille
J'ai la photo sous l'oreiller
D'une femme qui a partage ma vie
Qu'est partie avec ma tele,
Le frigo et les quatre pieds du lit
Le sol
Sur lequel je chute violemment
J'ai la tete en carafe
Et pas les yeux d'un hibou
Alors j'allume la lumiere
Pour pouvoir marcher debout
Rapport a tous ces coins de tables
Et a leurs petits sourires sournois
A leurs croche-pieds implacables
Qui me rappellent soudain a toi
Le sol,
Que je ne touche pas si souvent
(Merci a Nicolas pour cettes paroles)
Et pas les yeux d'un hibou
Alors j'allume la lumiere
Pour pouvoir marcher debout
Rapport a tous ces coins de tables
Et a leurs petits sourires sournois
A leurs croche-pieds implacables
Qui me rappellent soudain a toi
Le sol,
Que je ne touche pas si souvent
C'est pas ma faute d'avoir essaye
Mais toutes ces conventions m'emmerdent
Sois poli, essuie ton nez
Et t'es gentil, marche pas dans l'herbe
Si t'es en retard pour bosser
T'aura pas le droit a ton cafe
Y'en a plein le cul de voir s'agiter
Des carottes pour me faire avancer
Ras le bol
Je veux qu'on me laisse avancer doucement
Je partage un tres joli deux pieces
Avec des milliers de culs de bouteilles
Des cendriers qui serrent les fesses
Et qui chantent des chansons de la veille
J'ai la photo sous l'oreiller
D'une femme qui a partage ma vie
Qu'est partie avec ma tele,
Le frigo et les quatre pieds du lit
Le sol
Sur lequel je chute violemment
J'ai la tete en carafe
Et pas les yeux d'un hibou
Alors j'allume la lumiere
Pour pouvoir marcher debout
Rapport a tous ces coins de tables
Et a leurs petits sourires sournois
A leurs croche-pieds implacables
Qui me rappellent soudain a toi
Le sol,
Que je ne touche pas si souvent
(Merci a Nicolas pour cettes paroles)
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