Bourvil. Angèle. Zeneszám
Sous les oliviers noirs et argentes
Et dans tous les puits de terre brulee
Trainent les soupirs des printemps passes,
M'en veux-tu dis-moi ? M'en veux-tu d'aimer ?
Dans l'herbe fanee le fils du macon
Caresse Angele la fille du berger.
Amour eternel des quatre saisons,
La fleur et le fruit seront devores.
Sous les oliviers noirs et argentes
M'en veux-tu dis-moi ? M'en veux-tu d'aimer ?
Leur amour sent l'eau et la fenaison,
Les vertes moissons, les champs laboures.
Amour eternel des quatre saisons,
La fleur et le fruit seront devores.
Du passe rien ne peut nous separer,
Le coeur n'a jamais fini de vendanger.
Le temps va s'en aller,
Le soleil s'accroupi
Et le feu s'assoupi.
La, la, la ....
Angele, Angele, Angele, Ho
Et dans tous les puits de terre brulee
Trainent les soupirs des printemps passes,
M'en veux-tu dis-moi ? M'en veux-tu d'aimer ?
Dans l'herbe fanee le fils du macon
Caresse Angele la fille du berger.
Amour eternel des quatre saisons,
La fleur et le fruit seront devores.
Sous les oliviers noirs et argentes
M'en veux-tu dis-moi ? M'en veux-tu d'aimer ?
Leur amour sent l'eau et la fenaison,
Les vertes moissons, les champs laboures.
Amour eternel des quatre saisons,
La fleur et le fruit seront devores.
Du passe rien ne peut nous separer,
Le coeur n'a jamais fini de vendanger.
Le temps va s'en aller,
Le soleil s'accroupi
Et le feu s'assoupi.
La, la, la ....
Angele, Angele, Angele, Ho
Bourvil
Kedvencek