Dalida. Une Vie. Chanter Les Voix. Zeneszám
Agenouillee au pied du lit
Dans une chemise de draps
Juste au-dessous d'un crucifix
Dans une chemise de draps
Petite fille encore hier
Quand tout pleurait autour de moi
Je m'endormais dans mes prieres
Et j'entendais chanter des voix
C'etait des voix tres ordinaires
Elle avaient meme un peu l'accent
L'accent des chansons de ma mere
C'etait des voix d'enfants
Mais des enfants bien ordinaires
Qui chantaient leurs chagrins d'enfant
Sur des violons bien ordinaire
c'etait des voix d'enfant
Je ne mens plus dans mes priere
Je ne fais plus le signe de croix
Mais comme si c'etait hier
J'entends toujours chanter mes voix
Ce sont des voix tres ordinaires
Elle ont garde un peu l'accent
L'accent des chansons de ma mere
Ce sont des voix d'enfants
Mais des enfants bien ordinaires
Qui chantaient leurs chagrins d'enfant
Sur des violons bien ordinaire
ce sont des voix d'enfant
A l'heure ou les amours trepassent
Quand l'avenir est derriere soi
C'est tout un regiment qui passe
De chagrin et de feu de joie
C'etait des voix tres ordinaires
Elle avaient meme un peu l'accent
L'accent des chansons de ma mere
C'etait des voix d'enfants
Mais des enfants bien ordinaires
Qui chantaient leurs chagrins d'enfant
Sur des violons imaginaires
c'etait des voix d'enfant
Une Vie
Dalida