Dalida. Fado. Zeneszám
Fado, fado
Le Portugal te doit ses nuits blanches
Quand on fond de l'ombre tu te penches
Offrant ta fraicheur sous le ciel chaud
Fado, fado
Le soir sur la place on se rassemble
Et des que ta voix se fait entendre
Toutes les meres rythment le fado
Tous les coeurs
Te confient leurs espoirs et leurs peines
Le bonheur se confond enfin avec les pleurs
Grace au
Fado, fado
Quand la femme au chale noir te chante
C'est tout un monde que l'on invente
Rien que pour un refrain de fado
Fado, fado
Pour deux etrangers venus t'entendre
Le bonheur ne s'est pas fait attendre
Car l'amour aime bien le fado
Fado, fado
On s'est regarde sans rien se dire
Aussitot tu fleuris en sourires
Nos coeurs se sont compris sans un mot
Dans ma main
En tremblant il pose sa main douce
Et soudain pour nos deux coeurs
Il ne dit plus rien
Que le
Fado, fado
Rythmons cet amour devenu notre
Nous sommes partis l'un contre l'autre
Tandis que s'eloigne le fado
Fado, fado, fado
Le Portugal te doit ses nuits blanches
Quand on fond de l'ombre tu te penches
Offrant ta fraicheur sous le ciel chaud
Fado, fado
Le soir sur la place on se rassemble
Et des que ta voix se fait entendre
Toutes les meres rythment le fado
Tous les coeurs
Te confient leurs espoirs et leurs peines
Le bonheur se confond enfin avec les pleurs
Grace au
Fado, fado
Quand la femme au chale noir te chante
C'est tout un monde que l'on invente
Rien que pour un refrain de fado
Fado, fado
Pour deux etrangers venus t'entendre
Le bonheur ne s'est pas fait attendre
Car l'amour aime bien le fado
Fado, fado
On s'est regarde sans rien se dire
Aussitot tu fleuris en sourires
Nos coeurs se sont compris sans un mot
Dans ma main
En tremblant il pose sa main douce
Et soudain pour nos deux coeurs
Il ne dit plus rien
Que le
Fado, fado
Rythmons cet amour devenu notre
Nous sommes partis l'un contre l'autre
Tandis que s'eloigne le fado
Fado, fado, fado
Dalida
Kedvencek
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