Daniel Balavoine. Le Pied Par Terre. Zeneszám
Je vivais tout seul,
J'avais tout mon temps,
L'ete, je m'en allais a l'ocean
Pour quand je serai vieux,
Mourir decemment
L'hiver, je travaillais pour de l'argent
Les yeux fermes, paradis du vent
Je revais en l'air
Le matin dans tous les journaux,
Au ciseau, je changeais les nouvelles
Et c'etait beau
Mais aujourd'hui,
Le pied par terre,
Je vois tout autrement,
Je parle et je me perds,
Ici c'est beaucoup trop grand,
Je ne pourrais jamais,
Revenir en arriere
Je voudrais me cacher,
je ne suis pas bien mechant
Le pied par terre,
Je vois tout autrement,
Je parle et je me perds,
Ici c'est beaucoup trop grand,
Je ne pourrais jamais,
Revenir en arriere
Je voudrais me cacher,
je ne suis pas encore mechant
J'etais bien parti,
J'avais pas d'amis,
Pourtant, les gens de partout m'aimaient
Je criais souvent
Sans savoir vraiment
Enfin, tout ca n'etait pas important
J'ai recherche, le chemin d'en haut
Il n'existait pas
Les journaux annoncaient la guerre
J'aurais voulu pleurer
mais en bas on ne peut pas
Et aujourd'hui
Le pied par terre,
Je vois tout autrement,
Je ne peux plus me taire
Et si mon coeur est grand
Je ne veux pas mourir, meme decemment
A force de souffrir,
Je suis devenu mechant
Le pied par terre,
Je vois tout autrement,
Je ne peux plus me taire
Et si mon coeur est grand
Je ne veux pas mourir, meme decemment
A force de souffrir,
Je suis devenu mechant
J'avais tout mon temps,
L'ete, je m'en allais a l'ocean
Pour quand je serai vieux,
Mourir decemment
L'hiver, je travaillais pour de l'argent
Les yeux fermes, paradis du vent
Je revais en l'air
Le matin dans tous les journaux,
Au ciseau, je changeais les nouvelles
Et c'etait beau
Mais aujourd'hui,
Le pied par terre,
Je vois tout autrement,
Je parle et je me perds,
Ici c'est beaucoup trop grand,
Je ne pourrais jamais,
Revenir en arriere
Je voudrais me cacher,
je ne suis pas bien mechant
Le pied par terre,
Je vois tout autrement,
Je parle et je me perds,
Ici c'est beaucoup trop grand,
Je ne pourrais jamais,
Revenir en arriere
Je voudrais me cacher,
je ne suis pas encore mechant
J'etais bien parti,
J'avais pas d'amis,
Pourtant, les gens de partout m'aimaient
Je criais souvent
Sans savoir vraiment
Enfin, tout ca n'etait pas important
J'ai recherche, le chemin d'en haut
Il n'existait pas
Les journaux annoncaient la guerre
J'aurais voulu pleurer
mais en bas on ne peut pas
Et aujourd'hui
Le pied par terre,
Je vois tout autrement,
Je ne peux plus me taire
Et si mon coeur est grand
Je ne veux pas mourir, meme decemment
A force de souffrir,
Je suis devenu mechant
Le pied par terre,
Je vois tout autrement,
Je ne peux plus me taire
Et si mon coeur est grand
Je ne veux pas mourir, meme decemment
A force de souffrir,
Je suis devenu mechant
Daniel Balavoine
Daniel Balavoine
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