Debout Sur Le Zinc. Les Manigances. Zeneszám
(Romain Sassigneux/DSLZ)
La liberte n'est pas de celles que l'on achete
Moi j'ai brule bien des annees dans cette quete
Elle a resiste, moi j'ai tout tente
Pour la prendre, mais en vain le vent avait tourne
A ses pieds je suis tombe
Et si j'ai perdu connaissance
Mon vieil orgueil ne m'a pas lache et je pense
Un jour viendra ou fort de mon talent
Je lui ferai le mal que je sais et en attendant
Je manigance,
Je manigance.
Je restais froid en tout lieu en toute circonstances,
J'etais le roi quand a te gater l'existence,
Entrais d'un seul regard au fond de toi,
Et la nuit dans tes reves je te glacais d'effroi
Mais aujourd'hui, pas le temps de t'en expliquer les raisons,
Meme si j'ai toujours une dent a disposition,
Le doute est entre la je le sens bien,
Un seul geste suffirait a me priver de mes attraits
Les manigances,
Les manigances.
Ma tete tourne, tourne, et fond dans la nuit ou tantot je regnais,
Je n'y vois plus rien, rien ni personne.
Et mon coeur sonne resonne d'une verite que toujours je renais,
De celles qui ne trompent jamais.
La liberte n'est pas de celles que l'on soudoie,
Moi j-y ai cru et je me perds dans ces bras.
La liberte n'est pas de celles que l'on achete
Moi j'ai brule bien des annees dans cette quete
Elle a resiste, moi j'ai tout tente
Pour la prendre, mais en vain le vent avait tourne
A ses pieds je suis tombe
Et si j'ai perdu connaissance
Mon vieil orgueil ne m'a pas lache et je pense
Un jour viendra ou fort de mon talent
Je lui ferai le mal que je sais et en attendant
Je manigance,
Je manigance.
Je restais froid en tout lieu en toute circonstances,
J'etais le roi quand a te gater l'existence,
Entrais d'un seul regard au fond de toi,
Et la nuit dans tes reves je te glacais d'effroi
Mais aujourd'hui, pas le temps de t'en expliquer les raisons,
Meme si j'ai toujours une dent a disposition,
Le doute est entre la je le sens bien,
Un seul geste suffirait a me priver de mes attraits
Les manigances,
Les manigances.
Ma tete tourne, tourne, et fond dans la nuit ou tantot je regnais,
Je n'y vois plus rien, rien ni personne.
Et mon coeur sonne resonne d'une verite que toujours je renais,
De celles qui ne trompent jamais.
La liberte n'est pas de celles que l'on soudoie,
Moi j-y ai cru et je me perds dans ces bras.
Kedvencek