Emile et Images. L'Olympia. Plus Près Des étoiles. Zeneszám
(F.Porterie-J.Cardona/J.Garcia)
Ils ont quitte leurs terres
Leurs champs de fleurs
Et leurs livres sacres
Traverses les rizieres
Jusqu'au grand fleuve sale
Sans amour, sans un cri
Ils ont ferme leurs visages de miel
Les yeux mouilles de pluie
Les mains tendues vers le ciel
Un peu plus pres des etoiles
Au jardin de lumiere et d'argent
Pour oublier les rivages brulants
Un peu plus pres des etoiles
A l'abri des coleres du vent
A peine un peu plus libres qu'avant
Au pied des murs de pierres
Ils ont brule leurs dragons de papier
Refermes leurs paupieres
Sur les chenilles d'acier
Eux qui croyaient vieillir
En regardant grandir leurs enfants
A l'ombre du sourire
Des Bouddhas de marbre blanc
Un peu plus pres des etoiles
Au jardin de lumiere et d'argent
Pour oublier les rivages brulants
Un peu plus pres des etoiles
A l'abri des coleres du vent
A peine un peu plus libres qu'avant
Ils parlent a demi-mots
A mi-chemin entre la vie et la mort
Et dans leurs yeux mi-clos
Du soleil, du soleil brille encore
Une ile de lumiere
Un cerf volant s'est pose sur la mer
Un vent de liberte
Trop loin, trop loin pour les emporter
Un peu plus pres des etoiles
Au jardin de lumiere et d'argent
Pour oublier les rivages brulants
Un peu plus pres des etoiles
A l'abri des coleres du vent
A peine un peu plus libres qu'avant
Un peu plus pres des etoiles
Au jardin de lumiere et d'argent
Pour oublier les rivages brulants
Un peu plus pres des etoiles
A l'abri des coleres du vent
A peine un peu plus libres qu'avant
Emile et Images