Eths. Des Cendres. Zeneszám
Ton cur pend au-dessus de ma tete. Toi l'amant, il ne reste qu'une miette de ta peau douce
presque adolescente. La mouche tournoie, elle n'est plus patiente. Poussiere chaude veut me
faire tousser. Mes mains ne cessent plus de penser. Mes yeux ne veulent plus baver. Juste que ce
n'est pas moi qui l'ait tue. Tete faite mal, gouffre avale, c'est un sol sale. La
sens-tu bruler? Corps bancal, toi qui tombes. Te noyer gorge violee. Essaie parle!
Viens te perdre dans le creux de mes reins. J'aime ton sang sur mon corps. Mange ton cur dans mes
mains. Je n'ai rien pu cacher dedans. Je ne fais que te regarder. De mes mains... Te noyer!
Laisse-toi boire par les grands secrets des anges! Laisse-toi croire que tu m'as rendue sale.
Laisse-moi te voir faible dans un corps qui penche. Laisse-moi avoir le choix que tu n'aies plus
jamais mal. Laisse-moi croire que tu n'as plus mal... Un pantin ivre, pour un maitre avide.
Toujours sourire pour moins dormir. Et te tuer juste pour rire. Laisse-moi croire que tu n'as plus
mal.
Kedvencek