Florent Marchet. Dimanche. Zeneszám
On se croirait Dimanche...
Mais ce n'est pas pareil
Allonge sur le lit
Le visage irrite
Et le corps affaiblit
Limite...
La lumiere est brutale
Et les rues degueulasses
Je sais qu'en temps normal
Le bonheur me depasse
On se croirait Dimanche...
Mais ce n'est pas pareil
Et le jour se prolonge
C'est pourtant inutile
Le desordre me plonge
Dans la ville
Le soleil me salit
L'atmosphere est humide
Je prends des raccourcis
Vers des passages a vides
On se croirait Dimanche...
Mais ce n'est pas pareil
Tu n'as rien calcule
En laissant sur la table
Nos vies inconfortables
Et le double des cles...
On se croirait Dimanche...
Mais ce n'est pas pareil
On se croirait Dimanche...
Mais ce n'est pas pareil
On se croirait Dimanche...
Mais ce n'est pas pareil
Mais ce n'est pas pareil
Allonge sur le lit
Le visage irrite
Et le corps affaiblit
Limite...
La lumiere est brutale
Et les rues degueulasses
Je sais qu'en temps normal
Le bonheur me depasse
On se croirait Dimanche...
Mais ce n'est pas pareil
Et le jour se prolonge
C'est pourtant inutile
Le desordre me plonge
Dans la ville
Le soleil me salit
L'atmosphere est humide
Je prends des raccourcis
Vers des passages a vides
On se croirait Dimanche...
Mais ce n'est pas pareil
Tu n'as rien calcule
En laissant sur la table
Nos vies inconfortables
Et le double des cles...
On se croirait Dimanche...
Mais ce n'est pas pareil
On se croirait Dimanche...
Mais ce n'est pas pareil
On se croirait Dimanche...
Mais ce n'est pas pareil