Francis Cabrel. 77-87. C'était L'hiver. Zeneszám
:
Elle disait: "j'ai deja trop marche,
mon c?ur est deja trop lourd de secrets,
trop lourd de peines".
Elle disait: "je ne continue plus,
ce qui m'attend, je l'ai deja vecu,
c'est plus la peine".
Elle disait que vivre etait cruel,
Elle ne croyait plus au soleil,
Ni aux silences des eglises.
Meme mes sourires lui faisaient peur,
C'etait l'hiver dans le fond de son c?ur.
Le vent n'a jamais ete plus froid,
La pluie plus violente que ce soir-la,
Le soir de ses vingt ans,
Le soir ou elle a eteint le feu,
Derriere la facade de ses yeux,
Dans un eclair blanc.
Elle a surement rejoint le ciel,
Elle brille a cote du soleil,
Comme les nouvelles eglises.
Mais si depuis ce soir-la je pleure,
C'est qu'il fait froid
Dans le fond de mon c?ur.
Elle disait: "j'ai deja trop marche,
mon c?ur est deja trop lourd de secrets,
trop lourd de peines".
Elle disait: "je ne continue plus,
ce qui m'attend, je l'ai deja vecu,
c'est plus la peine".
Elle disait que vivre etait cruel,
Elle ne croyait plus au soleil,
Ni aux silences des eglises.
Meme mes sourires lui faisaient peur,
C'etait l'hiver dans le fond de son c?ur.
Le vent n'a jamais ete plus froid,
La pluie plus violente que ce soir-la,
Le soir de ses vingt ans,
Le soir ou elle a eteint le feu,
Derriere la facade de ses yeux,
Dans un eclair blanc.
Elle a surement rejoint le ciel,
Elle brille a cote du soleil,
Comme les nouvelles eglises.
Mais si depuis ce soir-la je pleure,
C'est qu'il fait froid
Dans le fond de mon c?ur.
Francis Cabrel
Les Chemins De Traverse
Francis Cabrel
Kedvencek