Frank Michael. Olympia 1999. Amapola. Zeneszám
Amapola, il etait une fois : toi
Petite melodie
Chanson d'amour
Amapola, les mots que tu ne dis pas
Ont la melancolie
Des coeurs trop lourds
Le bleu, le gris, de tes yeux couleur de pluie
C'est le reflet des larmes
De ceux qui s'aiment
Toutes ces larmes
Qui te reclament
Ta chanson, pour y pleurer quand meme
Amapola, l'amour, je ne savais pas
Peut longtemps s'endormir
Aux creux d'un songe
Et puis, parfois, il s'eveille dans d'autres bras
Pour mieux nous souvenir
De ses mensonges
Amapola, ces reves aussi dorment en toi
Et nos coeurs se souviennent
Mais ils retiennent
Ces larmes-la, Amapola
Que les violons pleureront par toi
Amapola, Amapola
Une chanson pour tous ceux qui s'aiment
Frank Michael
Olympia 1999
Frank Michael
Kedvencek