Gullia. Le Coeur Voyageur. Zeneszám

Quand j?aurai mon tapis volant,
Portee par les Alizes,
Je vivrai quelques temps,
Au pole nord et chez les pygmees.
Car je veux decouvrir
Le monde et ses continents.
Rien ne peut me retenir.
Attention, je prends mon elan.

Moi, j?ai le c?ur voyageur,
Comme un petit oiseau.
Les sentiments migrateurs
Sont les plus beaux,
Pour apprecier les couleurs,
Le grain de peau,
De ces gens qui vivent ailleurs.

Voyager, c?est dans ma nature.
Partager les coutumes,
La nourriture,
La musique et tous les costumes.
A l?aise dans mon Sari.
Tant pis pour mes amis
Qui revent de passer leur vie
Bien a l?etroit dans leurs habits.

Moi, j?ai le c?ur voyageur,
Comme un petit oiseau.
Les sentiments migrateurs
Sont les plus beaux,
Pour apprecier les couleurs,
Le grain de peau,
De ces gens qui vivent ailleurs.

En Afrique,
Les elephants sont tres sympathiques.
En Asie,
Au menu, c?est baguettes et sushi.
Au Bresil,

Je danse la samba des favelas.
En Russie,
J?embrasse les joues des babouchkas.

Je sais qu?un jour,
J?irai voir dans l?univers,
S?il y a des petits hommes verts.

Car j?ai le c?ur voyageur,
Comme un petit oiseau.
Les sentiments migrateurs
Sont les plus beaux,
Pour apprecier les couleurs,
Le grain de peau,
De ces gens qui vivent ailleurs.