Isabelle Boulay. Scènes D'Amour. Le Banc Des Délaissés. Zeneszám
Vendredi quatre heures devant la cathedrale
Dans le clocher les grandes cloches sonnent encore
Au rendez-vous en dessous les remparts
Chaque minute est une eternite
J'entends ta voix qui m'appelle
Je cherche dans la foule sans trouver
J'attends sur le banc des delaisses
J'attends toute seule parmi les milliers
A chaque instant j'espere te trouver
A mes cotes sur le banc des delaisses
Vendredi cinq heures les gens sont presses
Seuls les pigeons et les touristes sont restes
Les amants se retrouvent sur les quais sous le pont
Ils s'entrelacent serres et s'embrassent en partant
J'entends ta voix qui m'appelle
Je cherche dans la foule sans trouver
J'attends sur le banc des delaisses
J'attends toute seule parmi les milliers
A chaque instant j'espere te trouver
A mes cotes sur le banc des delaisses
Vendredi sept heures la place est videe
Y a plus de soleil dans les vallees de cette cite
Les ombres des arbres se rejoignent a mes pieds
Comme la maree montante sur le banc des delaisses
J'entends ta voix qui m'appelle
Je cherche dans la foule sans trouver
J'attends sur le banc des delaisses
J'attends toute seule parmi les milliers
A chaque instant j'espere te trouver
A mes cotes sur le banc des delaisses
Des delaisses
Des delaisses
Isabelle Boulay
Scènes D'Amour
Isabelle Boulay
Kedvencek