Jean Francois Breau. Jean-François Breau. Le Dernier Matin. Zeneszám
Touche a mon epaule
Il y a les dragons du silence
Ceux qui trainent aux peaux
Des delaisses et des souffrances
Touche a l'autre epaule
J'ai fais tatouer son nom pour la chance
Mais je n'ai fait
Pour que ca reste vrai
J'ai toucher des lunes
Sans lui en donner une
J'ai franchi des ponts
Sans decrire l'horizon
Y'a des milliards d'annees lumieres
Entre son ciel et ma terre
Y'a des millions
De directions qui m'eloignent...
Tourne une autre page
Y'a des mots que j'ai gardes en cage
Depuis les coleres et toute
La brume des vieux presages
Touche a la douleur,
Qu'on vit quand on fait face au malheur
C'est visible du cou jusqu'au coeur
Chercher d'autres lunes
Pour lui en donner une
Franchir d'autres ponts pour decrire l'horizon
Y'a des milliards d'annees lumieres
Qui attendent entre son ciel et ma terre
Y'a des millions de directions qui m'emmenent
La ou les gestes d'amour
Ne sont pas malentendus
Ou la beaute du discours
Fait un enfant de plus
J'aurais pu prendre son visage
Et le poser sur le mien
J'aurais pu...c'etait l'orage...
Et ce fut le dernier matin.