Jean-Jacques Goldman. Juste Quelques Hommes. Zeneszám
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Apres les brumes, ou commence le ciel
Ou les aigles reculent, ou manquent l'oxygene
Ou les grands froids regnent meme au soleil
Aux neiges eternelles
Ou rien ne pousse, ou les ames s'eteignent
Ou plus rien ne frissonne
Plus rien ni personne
Juste quelques hommes
Quelques hommes
Au fond des fonds aux entrailles des mers
Ou les sirenes sombrent en leurs sombres repaires
Plus loin que loin, aux extremes extremes
Ou plus un etre n'ose
Des astres eteints au sein des volcans meme
Ou les laves fusionnent
Ni rien, ni personne
Juste quelques hommes
Quelques hommes
Au plus sauvage, ou renoncent les fauves
Dans les grands marecages ou les humains pataugent
Au bout du mal, ou tous les dieux nous quittent
Et nous abandonnent
Dans ces boues noires ou meme les diables hesitent
A genoux pardonnent
Juste quelques hommes
Quelques hommes justes
Quelques hommes justes
Apres les brumes, ou commence le ciel
Ou les aigles reculent, ou manquent l'oxygene
Ou les grands froids regnent meme au soleil
Aux neiges eternelles
Ou rien ne pousse, ou les ames s'eteignent
Ou plus rien ne frissonne
Plus rien ni personne
Juste quelques hommes
Quelques hommes
Au fond des fonds aux entrailles des mers
Ou les sirenes sombrent en leurs sombres repaires
Plus loin que loin, aux extremes extremes
Ou plus un etre n'ose
Des astres eteints au sein des volcans meme
Ou les laves fusionnent
Ni rien, ni personne
Juste quelques hommes
Quelques hommes
Au plus sauvage, ou renoncent les fauves
Dans les grands marecages ou les humains pataugent
Au bout du mal, ou tous les dieux nous quittent
Et nous abandonnent
Dans ces boues noires ou meme les diables hesitent
A genoux pardonnent
Juste quelques hommes
Quelques hommes justes
Quelques hommes justes
Jean-Jacques Goldman
Kedvencek