Mélanie Laurent. Insomnie. Zeneszám
encore une nuit sans l'ombre d'un sommeil
encore une nuit trop longue sans reve qui me reveille
garder les yeux ouverts pourtant remplis de sable
regard accroche dans le vide a faire des bilans lamentables
encore une nuit sans l'espoir d'une fatigue soudaine
encore une nuit a resister sans s'epuiser soi meme
voir les heures s'ecouler plus rapides que l'eclaire
voir les heures se faner
puis soudain la lumiere
puis soudain la lumiere
puis soudain ...
combien de temps encore
combien de sablier
d'echec et de remord
et combien de cachet
voir l'autre se pointer enfin quand mon corps capitule de savoir que du matin ce petit temps ridicule
combien d'eveil
et pour combien de temps
mon corps qui se leve et qui negligemment en oublie le soleil par lachete par peur de connaitre de la nuit que sa mauvaise humeur
encore une journee a lutter pr ne pas baisser les armes
encore un jour a esperer
a redouter le drame
etre enfui dans des draps
uses de faire la guerre
a bien plus fort que moi et toi qui me desesperes
encore une journee minable
a l'ombre de mes pas
pas un jour raisonnable
pas une minute sans combat
loin du vent du vacarme
du tonnerre de la pluie
revenir au silence au calme de la nuit
au calme de la nuit
au calme
combien de temps encore
combien de sablier
d'echec et de remord
et combien de cachet
voir l'autre se pointer enfin quand mon corps capitule de savoir que du matin ce petit temps ridicule
combien d'eveil
et pour combien de temps
mon corps qui se leve et qui negligemment en oublie le soleil par lachete par peur de connaitre de la nuit que sa mauvaise humeur
combien d'eveil
et pour combien de temps
mon corps qui se leve et qui negligemment voit le soir debarquer avec dans ses valises l'insomnie bien rangee pliee entre deux valises
(Merci a stephanie pour cettes paroles)
encore une nuit trop longue sans reve qui me reveille
garder les yeux ouverts pourtant remplis de sable
regard accroche dans le vide a faire des bilans lamentables
encore une nuit sans l'espoir d'une fatigue soudaine
encore une nuit a resister sans s'epuiser soi meme
voir les heures s'ecouler plus rapides que l'eclaire
voir les heures se faner
puis soudain la lumiere
puis soudain la lumiere
puis soudain ...
combien de temps encore
combien de sablier
d'echec et de remord
et combien de cachet
voir l'autre se pointer enfin quand mon corps capitule de savoir que du matin ce petit temps ridicule
combien d'eveil
et pour combien de temps
mon corps qui se leve et qui negligemment en oublie le soleil par lachete par peur de connaitre de la nuit que sa mauvaise humeur
encore une journee a lutter pr ne pas baisser les armes
encore un jour a esperer
a redouter le drame
etre enfui dans des draps
uses de faire la guerre
a bien plus fort que moi et toi qui me desesperes
encore une journee minable
a l'ombre de mes pas
pas un jour raisonnable
pas une minute sans combat
loin du vent du vacarme
du tonnerre de la pluie
revenir au silence au calme de la nuit
au calme de la nuit
au calme
combien de temps encore
combien de sablier
d'echec et de remord
et combien de cachet
voir l'autre se pointer enfin quand mon corps capitule de savoir que du matin ce petit temps ridicule
combien d'eveil
et pour combien de temps
mon corps qui se leve et qui negligemment en oublie le soleil par lachete par peur de connaitre de la nuit que sa mauvaise humeur
combien d'eveil
et pour combien de temps
mon corps qui se leve et qui negligemment voit le soir debarquer avec dans ses valises l'insomnie bien rangee pliee entre deux valises
(Merci a stephanie pour cettes paroles)
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