Maurane. L'espérance En L'homme. Zeneszám
Au cours d'une vie
Qui fut mouvementee
Dans un siecle ou l'horreur batit ses records
Parmi les etres qu'on a pu rencontrer
Sur le seuil d'un grand reve ou dans des corridors
Au cours d'une vie
De vertes et de pas mures
A se dire quelquefois que l''monde est foutu
Que l'homme est foutu qu'il va droit dans le mur
Il arrive que cette vie si cruelle et tordue
S'ouvre sur un jardin d'odeur
Comme en avaient les fleurs
Que l'on avait cru disparu
S'ouvre mystere et boule de gomme
Quand l'esperance en l'homme chantait
Encore dans les champs et les rues ....dans les champs et les rues
Au cours d'une vie
Qui fut mouvementee
Il arrive qu''un jardin
Ou qu'un simple visage humain
Une main ouvre un nouveau chemin
Au cours d'une vie
Qui fut mouvementee
Traversee de voyages au bout de la nuit
A s'dire suffit mais tout de meme hantee
Par la mort qui fait l'mort
Et par le temps qui fuit
S'ouvre tout un jardin d'odeurs
Comme en avaient les fleurs
Que l'on avait cru disparu
S'ouvre mystere et boule de gomme
Quand l'esperance en l'homme chantait
Encore dans les champs et les rues ....dans les champs et les rues
Au cours d'une vie
Qui fut mouvementee
Il suffit d'une voix
D'un certain regard pour qu'on voit
Un espoir toujours recommencer
Que l'on croit en l'amour plante sans cesse etreplante
Dans le cours d'une vie mouvementee
Tout s'pardonne tout se gomme
Et l'on voit soudain reverdir
Refleurir notre esperance en l'homme
Il arrive qu''un jardin
Ou qu'un simple visage humain
Une main ouvre un nouveau chemin
Tout se gomme se pardonne
Et l'on voit soudain reverdir
Refleurir notre esperance en l'homme ......
(Merci a Evelyne pour cettes paroles)
Qui fut mouvementee
Dans un siecle ou l'horreur batit ses records
Parmi les etres qu'on a pu rencontrer
Sur le seuil d'un grand reve ou dans des corridors
Au cours d'une vie
De vertes et de pas mures
A se dire quelquefois que l''monde est foutu
Que l'homme est foutu qu'il va droit dans le mur
Il arrive que cette vie si cruelle et tordue
S'ouvre sur un jardin d'odeur
Comme en avaient les fleurs
Que l'on avait cru disparu
S'ouvre mystere et boule de gomme
Quand l'esperance en l'homme chantait
Encore dans les champs et les rues ....dans les champs et les rues
Au cours d'une vie
Qui fut mouvementee
Il arrive qu''un jardin
Ou qu'un simple visage humain
Une main ouvre un nouveau chemin
Au cours d'une vie
Qui fut mouvementee
Traversee de voyages au bout de la nuit
A s'dire suffit mais tout de meme hantee
Par la mort qui fait l'mort
Et par le temps qui fuit
S'ouvre tout un jardin d'odeurs
Comme en avaient les fleurs
Que l'on avait cru disparu
S'ouvre mystere et boule de gomme
Quand l'esperance en l'homme chantait
Encore dans les champs et les rues ....dans les champs et les rues
Au cours d'une vie
Qui fut mouvementee
Il suffit d'une voix
D'un certain regard pour qu'on voit
Un espoir toujours recommencer
Que l'on croit en l'amour plante sans cesse etreplante
Dans le cours d'une vie mouvementee
Tout s'pardonne tout se gomme
Et l'on voit soudain reverdir
Refleurir notre esperance en l'homme
Il arrive qu''un jardin
Ou qu'un simple visage humain
Une main ouvre un nouveau chemin
Tout se gomme se pardonne
Et l'on voit soudain reverdir
Refleurir notre esperance en l'homme ......
(Merci a Evelyne pour cettes paroles)
Kedvencek