Patricia Kaas. Les Chansons Commencent. Zeneszám
Un homme et une femme
Ici reinventent l'amour
La-bas d'autres quittent
Un pays pour toujours
Avant la bataille, un soldat veille
Un enfant cherche le sommeil
On baptise ailleurs
On enterre tour a tour
Quand les mots s'arretent
Quand s'epuisent les discours
L'alcool et les fetes
Viennent a notre secours
Trop de bonheur ou de souffrance
Et trop de peur et de non-sens
L'absurdite ne se dit pas
Elle se danse
Alors les chansons commencent
Dechirent le silence
Quand les mots sont trop courts
Quand ils seraient trop lourds
Ou trop immenses
Les musiciens s'avancent
Et les chansons commencent
Tendre pauvre arrogance
Quand suffit plus de dire
Ou bien de reflechir
Pour etre ensemble
Les chansons rassemblent
Pour une recolte
Pour un presage a venir
Pour une revolte quand il faut mourir
Pour implorer nos saints, nos dieux
Mais pleurer nos destins de gueux
Quand le ciel est trop grand
Qu'il faudrait le remplir
Quand les reves sont atteints
Quand on brandit les coupes
Quand pleurer, s'etreindre
Et surtout ne rien dire
Quand les torrents font demi-tour
Quand meme le temps
Suspend son cours
Quand ni gestes ni cris
Ne peuvent plus suffire
Alors les chansons commencent
Dechirent le silence
Quand les mots sont trop courts
Quand ils seraient trop lourds
Ou trop immenses
Les musiciens s'avancent
Et les chansons commencent
Et qu'on boive ou qu'on danse
Quand suffit plus de dire
Ou bien de reflechir
Pour etre ensemble
Les chansons nous rassemblent
Dans nos creux, nos coincidences
Dans les bleus de nos existences
Quand on aime ou qu'on tremble
Quand on se rassemble
Alors les chansons s'elancent
Ainsi nos esperances
Pour etre un peu moins rien
Moins perdus qu'il nous semble
Un peu moins seuls
Les chansons nous rassemblent
Ici reinventent l'amour
La-bas d'autres quittent
Un pays pour toujours
Avant la bataille, un soldat veille
Un enfant cherche le sommeil
On baptise ailleurs
On enterre tour a tour
Quand les mots s'arretent
Quand s'epuisent les discours
L'alcool et les fetes
Viennent a notre secours
Trop de bonheur ou de souffrance
Et trop de peur et de non-sens
L'absurdite ne se dit pas
Elle se danse
Alors les chansons commencent
Dechirent le silence
Quand les mots sont trop courts
Quand ils seraient trop lourds
Ou trop immenses
Les musiciens s'avancent
Et les chansons commencent
Tendre pauvre arrogance
Quand suffit plus de dire
Ou bien de reflechir
Pour etre ensemble
Les chansons rassemblent
Pour une recolte
Pour un presage a venir
Pour une revolte quand il faut mourir
Pour implorer nos saints, nos dieux
Mais pleurer nos destins de gueux
Quand le ciel est trop grand
Qu'il faudrait le remplir
Quand les reves sont atteints
Quand on brandit les coupes
Quand pleurer, s'etreindre
Et surtout ne rien dire
Quand les torrents font demi-tour
Quand meme le temps
Suspend son cours
Quand ni gestes ni cris
Ne peuvent plus suffire
Alors les chansons commencent
Dechirent le silence
Quand les mots sont trop courts
Quand ils seraient trop lourds
Ou trop immenses
Les musiciens s'avancent
Et les chansons commencent
Et qu'on boive ou qu'on danse
Quand suffit plus de dire
Ou bien de reflechir
Pour etre ensemble
Les chansons nous rassemblent
Dans nos creux, nos coincidences
Dans les bleus de nos existences
Quand on aime ou qu'on tremble
Quand on se rassemble
Alors les chansons s'elancent
Ainsi nos esperances
Pour etre un peu moins rien
Moins perdus qu'il nous semble
Un peu moins seuls
Les chansons nous rassemblent
Patricia Kaas
További előadók
Kedvencek