Pigalle. Alors. Geindre. Zeneszám
Des le matin devant le cafe quotidien
Il pleure ses malheurs au barman du coin
En dehors de ses propres deboires
Il fait le catalogue des injustices du terroir
Le sucre fondu, il evoque toutes les miseres du monde
Alors elle lui prends doucement la main
Lui dit droit dans les yeux
Que c?est bien trop peu
Que de se plaindre, de geindre
Elle lui dit ....
Soit autre chose mon c?ur, que spectateur
Vivre est un cul de sac hypocondriaque
Anonne-t-il devant son petit armagnac
Comment digerer le midi quand on se dit
Qu?a l?autre bout de la terre, on se cale d?un seul grain de riz
Mais sa serviette n?eponge, dit-il, pas ses dettes
Alors elle lui prends doucement la main
Lui dit droit dans les yeux
Que c?est bien trop peu
Que de se plaindre, de geindre
Soit autre chose mon c?ur, que spectateur
Le pyjama ne stoppe pas les tracas
Maugreer au lit horizontalise les soucis
Tete dans l?oreiller, les yeux au plafond
Il deplore l?etat des haies que sautent les moutons
Fallait-il naitre ? s?interroge-t-il.
Alors elle lui prends doucement la main
Lui dit droit dans les yeux
Que c?est bien trop peu
Que de se plaindre, de geindre
Soit autre chose mon c?ur, que spectateur.
Alors
Pigalle
Kedvencek