Rohff. La Vie Avant La Mort. SSEM. Zeneszám
:
Le SSEM, la rage qui fait vibrer mes narines, caractere de hyenes,
Stock la rime, tellement qu'on a la haine, le SSEM, des qu'j'me leve le matin,
Parait qu'c'est stress, le vice qu'assombrit mon r'gard, qu'agresse le voisin,
Tout c'qu'on encaisse, tout c'qui nous vexe, nos complexes, ces choses qu'on dit pas,
Comme quand tu flippe tu t'masturbe le sexe, le SSEM, cette nuit j'ai surpris un jeune sniffer un rail,
C'est mort violente, j'vais vous faire mal au ventre si j'rentre dans les details,
Le SSEM, quand on perd un proche, c'est si moche qu'on met du temps a realiser qu'c'est pas du cinoche,
Le SSEM d'un braqueur en cavale qui s'rend pas,
Voit a la perquise ses fils de pute qui veulent entrer dans la chambre des rent-pa,
Le SSEM, quand le fisc te confisque plus d'la moitie d'ton pognon,
Et qu'ces batards du civ veulent saisir la tele du salon, c'est avoir le p'tit frelon et les potos enfermes,
Le SSEM, quand la mama pleure, qui sent l'etau s'refermer, le SSEM,
J'dois rien a personne, j'me demerde, le public des qu'j'ai appris a marcher tout seul j'l'emmerde,
La jalousie, j'creve le mauvais oeil, j'suis seul, comme au jugement dernier,
J'suis dans l'coma au seuil de la mort, c'est l'SSEM quand tu maitrises plus ton corps,
Comme des coups d'feu, l'SSEM va accelerer les battements d'ton coeur...
Tout l'monde ressent le SSEM, c'est la somme des sensations que le coeur consomme,
Mais l'adition de nos peines et nos joies assomment, comprendre pourquoi,
Seul le SSEM nous fait perdre le somme. Je dis que tout l'monde ressent le SSEM,
C'est la somme des sensations que le coeur consomme,
Mais l'adition de nos peines et nos joies assomment, comprendre pourquoi,
Seul le SSEM nous fait perdre le somme.
Meme si nos gamberges divergent, avec le SSEM ton insensibilite j'devierge,
Tout c'qui nous arrive est predestine, sur ce j'decris le SSEM dans toutes ces formes,
Quand l'fond prend forme, le SSEM de tout homme, toute femme qu'on enferme en taule,
Le SSEM des favelas dans les bidons-villes qui dorment dans des maisons d'taules,
Le SSEM dans nos yeux, l'instinct d'felin, j'te parle meme pas du SSEM du SSEM des orphelins.
(Le SSEM) des infirmes, trisomiques handicapes, et tous les gens normalement constitues,
Le SSEM des gens qu'ont fini par se tuer, peut-etre pas par lach'te, qui sait, n'arrivaient pas a situer,
Le SSEM des sourds-muets aveugles, qui tiennent le coup,
J'admire vot'courage, pour moi vous etes plus forts que nous,
La mamadou lala yarmoulsh Allah au paradis, et tous les momes qui sont partis d'une incurable maladie,
Le SSEM d'une veuve, d'une femme violee ou d'l'enfant seul traumatise dans sa piaule,
Un chien qu'aboie, un chat qui miaule, la somme des SSEM pour un bebe qui vient d'naitre,
Qui crie pleure, la somme des SSEM d'un psychiatre, d'un dur qui pleure,
Et rien qu'des disputes de famille, c'est l'SSEM, quand t'es a la rue, qu'tu dors sur le palier,
Dans les escaliers ou dans la cave, tout va mal, et tout s'aggrave,
Le SSEM d'un banlieusard qui s'focalise que sur le ghettos, vit d'embrouilles, de fusillades,
Et d'bastos qui t'rattrapent, le SSEM d'un fugitif quand les condes l'attrapent,
Le SSEM pour un ami sur qui on peut jamais compter, quand t'as des problemes,
Tu peux pas forcer les gens a avoir d'la bonte, ne compte que sur toi-meme,
Les hommes qu'ont trahi ta confiance, la somme des SSEM d'la nature de l'homme,
Le SSEM quand t'es fou amoureux d'un etre, et qu'il t'aime pas, pour un garcon qui dit " je t'aime " a sa mere,
Une fille pour son papa, le SSEM des atmospheres d'enterrements, c'est l'chant des cim'tieres,
Excusez-moi d'vous rappeler qu'on vit pas eternellement, le SSEM ou m'mene mon stylo,
Toucher l'fond du profond des choses, dues aux causes du mode de vie qu'on nous impose,
Ce theme est personnel, j'devoile la moitie de c'que mon coeur cache sous son aile :
L'amour, le fun, la rage, la haine, les sensations l'emotion, et quand on additionne,
Ca donne, l'orage, qui recouvre le sun, en somme, le SSEM, le SSEM,
L'amour le fun, la rage, la haine, les sensations l'emotion, et quand on additionne,
Ca donne, l'orage, qui recouvre le sun, en somme, le SSEM, le SSEM.
Tout l'monde ressent le SSEM,
C'est la somme des sensations que le coeur consomme,
Mais l'adition de nos peines et nos joies assomment,
Comprendre pourquoi, seul le SSEM nous fait perdre le somme.
Je dis que tout l'monde ressent le SSEM,
C'est la somme des sensations que le coeur consomme,
Mais l'adition de nos peines et nos joies assomment,
Comprendre pourquoi, seul le SSEM nous fait perdre le somme.
Le SSEM, la rage qui fait vibrer mes narines, caractere de hyenes,
Stock la rime, tellement qu'on a la haine, le SSEM, des qu'j'me leve le matin,
Parait qu'c'est stress, le vice qu'assombrit mon r'gard, qu'agresse le voisin,
Tout c'qu'on encaisse, tout c'qui nous vexe, nos complexes, ces choses qu'on dit pas,
Comme quand tu flippe tu t'masturbe le sexe, le SSEM, cette nuit j'ai surpris un jeune sniffer un rail,
C'est mort violente, j'vais vous faire mal au ventre si j'rentre dans les details,
Le SSEM, quand on perd un proche, c'est si moche qu'on met du temps a realiser qu'c'est pas du cinoche,
Le SSEM d'un braqueur en cavale qui s'rend pas,
Voit a la perquise ses fils de pute qui veulent entrer dans la chambre des rent-pa,
Le SSEM, quand le fisc te confisque plus d'la moitie d'ton pognon,
Et qu'ces batards du civ veulent saisir la tele du salon, c'est avoir le p'tit frelon et les potos enfermes,
Le SSEM, quand la mama pleure, qui sent l'etau s'refermer, le SSEM,
J'dois rien a personne, j'me demerde, le public des qu'j'ai appris a marcher tout seul j'l'emmerde,
La jalousie, j'creve le mauvais oeil, j'suis seul, comme au jugement dernier,
J'suis dans l'coma au seuil de la mort, c'est l'SSEM quand tu maitrises plus ton corps,
Comme des coups d'feu, l'SSEM va accelerer les battements d'ton coeur...
Tout l'monde ressent le SSEM, c'est la somme des sensations que le coeur consomme,
Mais l'adition de nos peines et nos joies assomment, comprendre pourquoi,
Seul le SSEM nous fait perdre le somme. Je dis que tout l'monde ressent le SSEM,
C'est la somme des sensations que le coeur consomme,
Mais l'adition de nos peines et nos joies assomment, comprendre pourquoi,
Seul le SSEM nous fait perdre le somme.
Meme si nos gamberges divergent, avec le SSEM ton insensibilite j'devierge,
Tout c'qui nous arrive est predestine, sur ce j'decris le SSEM dans toutes ces formes,
Quand l'fond prend forme, le SSEM de tout homme, toute femme qu'on enferme en taule,
Le SSEM des favelas dans les bidons-villes qui dorment dans des maisons d'taules,
Le SSEM dans nos yeux, l'instinct d'felin, j'te parle meme pas du SSEM du SSEM des orphelins.
(Le SSEM) des infirmes, trisomiques handicapes, et tous les gens normalement constitues,
Le SSEM des gens qu'ont fini par se tuer, peut-etre pas par lach'te, qui sait, n'arrivaient pas a situer,
Le SSEM des sourds-muets aveugles, qui tiennent le coup,
J'admire vot'courage, pour moi vous etes plus forts que nous,
La mamadou lala yarmoulsh Allah au paradis, et tous les momes qui sont partis d'une incurable maladie,
Le SSEM d'une veuve, d'une femme violee ou d'l'enfant seul traumatise dans sa piaule,
Un chien qu'aboie, un chat qui miaule, la somme des SSEM pour un bebe qui vient d'naitre,
Qui crie pleure, la somme des SSEM d'un psychiatre, d'un dur qui pleure,
Et rien qu'des disputes de famille, c'est l'SSEM, quand t'es a la rue, qu'tu dors sur le palier,
Dans les escaliers ou dans la cave, tout va mal, et tout s'aggrave,
Le SSEM d'un banlieusard qui s'focalise que sur le ghettos, vit d'embrouilles, de fusillades,
Et d'bastos qui t'rattrapent, le SSEM d'un fugitif quand les condes l'attrapent,
Le SSEM pour un ami sur qui on peut jamais compter, quand t'as des problemes,
Tu peux pas forcer les gens a avoir d'la bonte, ne compte que sur toi-meme,
Les hommes qu'ont trahi ta confiance, la somme des SSEM d'la nature de l'homme,
Le SSEM quand t'es fou amoureux d'un etre, et qu'il t'aime pas, pour un garcon qui dit " je t'aime " a sa mere,
Une fille pour son papa, le SSEM des atmospheres d'enterrements, c'est l'chant des cim'tieres,
Excusez-moi d'vous rappeler qu'on vit pas eternellement, le SSEM ou m'mene mon stylo,
Toucher l'fond du profond des choses, dues aux causes du mode de vie qu'on nous impose,
Ce theme est personnel, j'devoile la moitie de c'que mon coeur cache sous son aile :
L'amour, le fun, la rage, la haine, les sensations l'emotion, et quand on additionne,
Ca donne, l'orage, qui recouvre le sun, en somme, le SSEM, le SSEM,
L'amour le fun, la rage, la haine, les sensations l'emotion, et quand on additionne,
Ca donne, l'orage, qui recouvre le sun, en somme, le SSEM, le SSEM.
Tout l'monde ressent le SSEM,
C'est la somme des sensations que le coeur consomme,
Mais l'adition de nos peines et nos joies assomment,
Comprendre pourquoi, seul le SSEM nous fait perdre le somme.
Je dis que tout l'monde ressent le SSEM,
C'est la somme des sensations que le coeur consomme,
Mais l'adition de nos peines et nos joies assomment,
Comprendre pourquoi, seul le SSEM nous fait perdre le somme.
Rohff
Kedvencek