Michel Sardou. Lequel Sommes-nous ?. Zeneszám
Il y a l'enfant - on lui pardonne,
qui ce que repetent ses parents
Il s'en remettra s'il se donne
L'occasion de les fuir a temps.
Il y a celui qui parle de tout
De tout ce qu'il n'a jamais vu
Celui-la on le voit partout
Sur le net ou bien dans la rue.
Un autre qui s'en prend a son chien
Ou a sa femme faute d'etre un homme.
Jaloux de tout ce qui va bien,
Miteux dans un alcool de pomme.
Et l'attarde a grande echelle
Celui qui raterait le ciel,
En entrant dans l'eternite...
C'est fou ce qu'on entend tous les jours
Drames de l'amour ou du volant
Et l'enquete aboutit toujours
A la meme cause evidemment.
J'en connais aussi qui cumulent
Laids, betes et mechants a la fois
Ceux-la sont tetus comme des mules
Dans leur royaume ce sont les rois.
Et l'attarde a grande echelle,
Celui qui raterait le ciel,
En entrant dans l'eternite...
Puis il y a ceux qui font de la peine
Parce que c'est comme ca qu'ils sont nes
Du jus de navet dans les veines
Pas de cerveaux a irriguer
Et puis tous ceux qui ont la haine
De ceux qui les ont depasses.
Et la seule insulte qu'ils retiennent
C'est celle qui les fait fanstamer...
Et l'attarde a grande echelle
Celui qui raterai le ciel
En entrant dans l'eternite...
(Merci a aurelie pour cettes paroles)
qui ce que repetent ses parents
Il s'en remettra s'il se donne
L'occasion de les fuir a temps.
Il y a celui qui parle de tout
De tout ce qu'il n'a jamais vu
Celui-la on le voit partout
Sur le net ou bien dans la rue.
Un autre qui s'en prend a son chien
Ou a sa femme faute d'etre un homme.
Jaloux de tout ce qui va bien,
Miteux dans un alcool de pomme.
Et l'attarde a grande echelle
Celui qui raterait le ciel,
En entrant dans l'eternite...
C'est fou ce qu'on entend tous les jours
Drames de l'amour ou du volant
Et l'enquete aboutit toujours
A la meme cause evidemment.
J'en connais aussi qui cumulent
Laids, betes et mechants a la fois
Ceux-la sont tetus comme des mules
Dans leur royaume ce sont les rois.
Et l'attarde a grande echelle,
Celui qui raterait le ciel,
En entrant dans l'eternite...
Puis il y a ceux qui font de la peine
Parce que c'est comme ca qu'ils sont nes
Du jus de navet dans les veines
Pas de cerveaux a irriguer
Et puis tous ceux qui ont la haine
De ceux qui les ont depasses.
Et la seule insulte qu'ils retiennent
C'est celle qui les fait fanstamer...
Et l'attarde a grande echelle
Celui qui raterai le ciel
En entrant dans l'eternite...
(Merci a aurelie pour cettes paroles)
Sardou, Michel
Sardou, Michel
Kedvencek