William Sheller. Centre Ville. Zeneszám
Il y a au centre-ville
De l'eau qui coule au bord des rues
Et qu'on balaye au jour leve.
J'irai du pas tranquille
De ceux qui ne sont jamais revenus
Et qui n'ont rien a regretter...
Parce que, tu vois,
Bien sur, tu ne m'as pas dit de te suivre
Et la, j'suis d'accord.
Y'a tellement de choses a voir dans ton sourire quand tu dors.
J'ai le souvenir d'un grand bateau blanc sur la mer de ton corps
Mais je n'pense pas
Qu'j'etais fait pour vivre
A son bord.
Il y a, vers la presqu-ile,
Des barques qui s'en vont, le soir,
Vers ou nous ne serons jamais alles.
Les adieux difficiles
De ceux qu'on ne va jamais revoir
Laissent tant de choses a oublier...
Parce que, tu vois,
Bien sur, tu ne m'as pas dit de te suivre
Et la, j'suis d'accord.
Y'a tellement de choses a voir dans ton sourire quand tu dors.
J'ai le souvenir d'un grand bateau blanc sur la mer de ton corps
Mais je n'pense pas
Qu'j'etais fait pour vivre
A son bord...
A son bord?
De l'eau qui coule au bord des rues
Et qu'on balaye au jour leve.
J'irai du pas tranquille
De ceux qui ne sont jamais revenus
Et qui n'ont rien a regretter...
Parce que, tu vois,
Bien sur, tu ne m'as pas dit de te suivre
Et la, j'suis d'accord.
Y'a tellement de choses a voir dans ton sourire quand tu dors.
J'ai le souvenir d'un grand bateau blanc sur la mer de ton corps
Mais je n'pense pas
Qu'j'etais fait pour vivre
A son bord.
Il y a, vers la presqu-ile,
Des barques qui s'en vont, le soir,
Vers ou nous ne serons jamais alles.
Les adieux difficiles
De ceux qu'on ne va jamais revoir
Laissent tant de choses a oublier...
Parce que, tu vois,
Bien sur, tu ne m'as pas dit de te suivre
Et la, j'suis d'accord.
Y'a tellement de choses a voir dans ton sourire quand tu dors.
J'ai le souvenir d'un grand bateau blanc sur la mer de ton corps
Mais je n'pense pas
Qu'j'etais fait pour vivre
A son bord...
A son bord?
Sheller, William
Sheller, William
Kedvencek