William Sheller. Parade (Le Bel Adieu). Zeneszám
Bonjour, mes malheurs-violons.
Me revoila chez elle,
Dans un palais d'illusions,
Parmi des fleurs nouvelles.
Comme un pantin dont on tire les ficelles,
Comme Polichinelle, me voyez-vous ?
Une fois encore, je vais danser pour celle,
Tendrement cruelle,
Que j'avais fui pour vous.
Sonnez, mes soleils-clairons,
De tous vos arcs-en-ciel.
Dans un theatre en carton,
Je joue ma vie nouvelle.
Comme un pantin que les fees ensorcellent
Ou une sentinelle au garde-a-vous,
Une fois encore, je vais tomber pour celle,
Tendrement cruelle,
Que j'avais fui pour vous.
Comme un pantin qui se brule aux chandelles
D'un feu eternel, me voyez-vous ?
Une fois encore, je vais mourir pour celle,
Tendrement cruelle,
Que j'avais fui pour vous
Me revoila chez elle,
Dans un palais d'illusions,
Parmi des fleurs nouvelles.
Comme un pantin dont on tire les ficelles,
Comme Polichinelle, me voyez-vous ?
Une fois encore, je vais danser pour celle,
Tendrement cruelle,
Que j'avais fui pour vous.
Sonnez, mes soleils-clairons,
De tous vos arcs-en-ciel.
Dans un theatre en carton,
Je joue ma vie nouvelle.
Comme un pantin que les fees ensorcellent
Ou une sentinelle au garde-a-vous,
Une fois encore, je vais tomber pour celle,
Tendrement cruelle,
Que j'avais fui pour vous.
Comme un pantin qui se brule aux chandelles
D'un feu eternel, me voyez-vous ?
Une fois encore, je vais mourir pour celle,
Tendrement cruelle,
Que j'avais fui pour vous
Sheller, William
Sheller, William
Kedvencek