Fordítás: Isabelle Aubret. Bejrút.
Qu'ils soient d'ici ou de n'importe quel parage Moi j'aime bien les gens qui sont de quelque part Et portent dans leur c?ur une ville ou un village Ou
1. Le vent dans tes cheveux blonds Le soleil a l'horizon Quelques mots d'une chanson Que c'est beau, c'est beau la vie {Refrain:} Tout ce qui tremble
Je veux chanter pour ceux qui s'aiment Ceux qui partagent et qui comprennent Qui balaient toutes les detresses Par des ouragans de tendresse Je veux chanter
Comme la boue comme la glaise Entre la mer et la falaise Comme l'ombre entre deux chansons Nous vivons entre parentheses On se rencontre entre deux trains
Dors bien la terre Dans ton grand drap noir Oublie tes guerres Tes coups de cafard Tes plaies, tes bosses Ne se voient qu'au jour Dors comme le gosse
Il etait un petit homme qui aimait manger des pommes, mais n' savait pas les compter, he, he, mais n'savait pas les compter, et un autre petit homme
Elle chante au milieu du bois La source et je me demande S'il faut croire a cette legende D'une fille qu'on y trouva Elle etait blonde, elle etait douce
Un premier amour, premier amour, premier amour Ne s'oublie jamais, s'oublie jamais, s'oublie jamais Un premier amour on le cherche toujours Dans d'autres
{Refrain:} En cueillant les pommes - pomme rouge, pomme verte ou bleue - en cueillant les pommes j'ai du me tromper un peu. Ma mere m'avait dit: - Prends
Verone Qu'as-tu fait Des deux amants si beaux Qui s'appelaient je crois, Juliette et Romeo ? Les amants de Verone Sont a jamais couches Est-ce donc pour
Ils avancaient nu pieds et vetus de haillons Marchaient en rangs serres criant vive la nation Prets a donner leurs vies pour que la liberte Puisse enfin
La mer sans arret Roulait ses galets Les cheveux defaits Ils se regardaient Dans l'odeur des pins Du sable et du thym Qui baignait la plage Ils se regardaient
Vous qui passez sans me voir Sans meme me dire bonsoir Donnez-moi un peu d'espoir ce soir... J'ai tant de peine Vous, dont je guette un regard Pour quelle