Quand le soc de roc de saisons Sue nos visages et sur nos fronts Aura creuse de lourds sillons De rides Quand nos enfants ayant grandi Auront abandonne
Le jour Qui pour toujours Verra le lourd Rideau de scene Tomber sur moi, Je dirai a Dieu d'une voix Tres peu chretienne : J'ai fait, Bon ou mauvais,
De contretemps en contretemps On ne se voit qu'a contre-jour Et vivons a contre-courant A contre-amour Jouant ensemble a contrec?ur Au vu des autres
Hai gli occhi fissi su di me lo sguardo malizioso che ne sa suggerire di cose Abbracciami coi gesti stai dicendo si ti muovi tutta al ralenti in nuove
La jeunesse est turbulente Insolente Mais souvenez-vous Vous les gens devenus sages Qu'a votre age Vous etiez comme nous Tout comme nous presses de vivre
La la la la la la Je suis bien Ecrasee contre ton c?ur La la la la la la Ne dis rien Laisse parler le bonheur Car les mots que l'on dit en amour Sont
Par un frisson leger et presque imperceptible Le corps ressent soudain comme un mal ignore Qui le ronge et le rend vulnerable et sensible Au charme d
Mon front est moite Je tremble un peu Ma tete eclate Je suis nerveux J'ai l'impression qu'on me regarde Et dans la nuit ou nait la peur Que des doigts
Au nom de la jeunesse Aux saisons des beaux jours Mes jeunes idees courent Etaler leurs faiblesses Au soleil de l'amour Au nom de la jeunesse Aux printemps
Au clair de mon ame Au c?ur de mon c?ur Je cherche la flamme De notre bonheur je sais que nos amours sont mortes Mais je ne veux pas Que le temps deporte
Avec ces yeux-la Et ce regard-la Tu as change le courant de ma vie Avec ces yeux-la Oh! qu'as-tu fait la La dans mon coeur qui s'ennuie Et crie Pour
Je viens du fond des ages et viens du bout des choses J'ai vecu mille fois plus que n'importe qui J'ai ete dans la lune avant qu'on ne s'y pose Par la
Quand l'ennui depasse les bornes Que le temps tourne au ralenti Que tout semble triste et morne Pour rompre la monotonie Nous deplacons la grande table
Camarade Tu etais mon seul ami, mon camarade Tous les deux nous avons fait des barricades Les maquis, les commandos, les embuscades Mon camarade Camarade
Ave Maria Ave Maria Ceux qui souffrent viennent a toi Toi qui as tant souffert Tu comprends leurs miseres Et les partages Marie courage Ave Maria Ave
Dans le tumulte infernal D'un gigantesque bal De 14 juillet Ton c?ur fit a sa facon Une revolution Mais seul ton corps dansait La carmagnole Tu acceptais
Ce jour tant attendu S'etait leve pour nous Tu etais etendue Moi j'etais comme un fou Deux c?urs battaient en toi Au rythme de mon c?ur Et y avait tant
Celui que j'aime est un vaurien Qui chante du soir au matin Un artiste Egoiste Qui tient ma vie dans ses mains Celui que j'aime est un garcon Qui a de