J'ai connu tant de villes Qui n'etaient jamais les miennes J'ai connu tant de filles Qui ne me connaissaient pas Et ma maison, et mes amis Vous etiez
attendais depuis deja tant d'annees Le temps d'y croire elle m'avait echappe Elle etait oh, oh, oh! Et moi j'etais comme un fou Elle etait oh, oh, oh
elle repond aux lettres Elle est le seul espoir, la seule issue Pour l'amant decu, pour ceux qui n'y croyaient plus Et c'est vrai qu'elle donne confiance
On reste seul sur un quai vide Comme si l'on attendait quelqu'un A se redire qu'elle s'en va, que tout chavire Et que l'on n'y comprend rien Et que l
Deguise en linge sale Tous ses amis entouraient deja La blanchisserie "J'y suis, j'y suis" - qu'il leur a dit Mais les poulets y etaient aussi! Oh bye bye Louis, bye bye bye Oh
on peut encore rever On n'a pas besoin d'argent pour etre riche Qu'importe les lauriers, il suffit pour bien vivre D'aimer la vie pour ce qu'elle est
femme et de ton champ Chante l'ami, car tout s'oublie En chantant Le general a dit qu'il faut Prendre la ville de Tampico Quand viendra l'aube elle
Je donne toutes mes chemises a la laverie automatique La concierge me monte mon cafe et mes tartines Mais la vie n'est pas facile sans les joies de la
Quand on court apres l'espoir On peut toujours aller voir Dans un autre port Comment se leve l'aurore Vers lequel faut-il partir J'ai deja entendu dire
Si tu peux lire en moi Tu vas voir la triste histoire D'un malheureux fantome Enferme dans un vieux manoir Dans la tour de guet D'un chateau hante Avec
C'etait un soir, un matin peut-etre, Sylvie T'en souviens-tu, Sylvie? Je ne sais plus, Sylvie C'etait l'ete, l'automne peut-etre, Sylvie Je n'en sais
allez roulez! A la radio la meteo Et allez roulez! allez roulez! Que c'est long, toute une nuit sur une autoroute Avallon, Fontainebleau, Paris La-bas c'est elle
de voir que c'est elle Mon train repart et elle disparait Elle etait oh, oh, oh, oh Et moi j'etait comme un fou Elle etait oh, oh, oh, oh A se mettre