(Delphine Dobrininie/Asdorve) Maria, vous aimiez mon regard Ce soir mon nom est Maria Il n'y a plus de diva, appelez-moi Maria J'ai fait pleurer les
Tard le soir comme c'est joli Les boulevards Paris la nuit Jolie la France on pari sa chance La course ici est reglee d'avance Vie lumiere les taxis s
En scene Comme deux figurants Coeur defigure Par la boxe du temps On aggrave nos peines De reve sans talent On disperse nos graines Dans un decor blanc
Ma douleur est un cheval Je le monte a cru sans renes Je le met au pas quand il galope Je lui montre qui est le maitre Ma douleur est une salope Ma douleur
(Iza Loris/ Asdorve) Mes yeux sont des fleurs Cueillons-nous du regard Semons notre impudeur Dans un lit de hasard Ma bouche est un pre Ou poussent des
(Pascale Schembri/Asdorve) Les anges de l'artifice ont peint dans le decor Mes notes et mes caprices degrades rouge et or Passe par les coulisses Il
(Pierre-Yves Leberts/Asdorve) La-bas tout me semblait connu Convenu et deja tout vu Des kilometres de trottoir delimitaient mon territoire El meme le
de ses coleres auxquels elle cede c'est ainsi ecris a la mine dans le journal de julie Z dans le journal de julie Z ho ho ho .... (Grazie a jeremy
Pas dans la naphtaline Pas dans les p'tits chaussons Pas dans les infusions du soir Pas d'a vingt heures on dine d'vant la television Vautre chacun son
Venezia, venezia come un transatlantico nell' acqua nera. Staccava dai palazzi l'ombra della sera come una bell'idea, che affonda, oltre la scia dell
(Un, dos, tres, cuatro) Je suis une princesse Je suis une princesse Je suis une princesse Une robe assassine Des talons trop grands Sur ma bouche
Assise au milieu du salon, au milieu des cartons Mon ame est pliee sous le poids du plafond J?ai range nos etes, nos siestes sur le gazon Sous tous les
Si le temps me le permettait Oh, je serais pres de toi On passerait des jours ensemble Assises sous le meme toit Si le temps me le permettait J?aurai
(Pierre-Yves Lebert/ Asdorve) Venise Tanguait, roulait ,s'enfoncait tout doucement dans l'eau noire Des palais s'enfuyaient De grands oiseaux criards
Continuez, le monde ne mourra pas Par manque d'innocents Mais par manque d'innocence Oh, continuez, vous avez raison La liberte, c'est n'jamais demander
Je suis une grande rousse aux yeux verts Non fumeuse et je suis toujours celibataire Je gagne un assez gros salaire Je deteste la campagne Et j?adore
Dans ma boite a musique Des reves endormis dans la soie Ecorches a force de destin Se souvenir d?un sourire qui fait du bien Qui nous rappelle d?ou l
Un desir que rien ne dompte Mes doux murmures font Des poemes « je t'aime » D'erotiques versets qui Offenseraient ta pudeur Avant que Morphee se meurt Julie